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Les détracteurs de Habanos S.A! Il n’y a pas mieux comme motivation

Hona24/Londres Royaume Uni

«Le Royaume du Maroc dispose de cinq mois de réserves en devises », ce sont les propos de Mr. Abdellatif Jouahri, Wali de Bank Al Maghrib. Cette déclaration, souvent réitérée, reflète la criticité de la balance commerciale du Royaume du Maroc, et le besoin du pays en entreprises qui produisent et qui exportent depuis le Maroc.

Nul ne peut contredire le succès de l’entreprise marocaine Habanos S.A. dans la production et l’exportation du Cigare de luxe « Made in Morocco ». Un article de Forbes Africa, paru fin Avril, met en premier plan tout le potentiel de Habanos S.A. Les sols fertiles et le bon environnement d’investissement du Royaume du Maroc ont permis à Habanos S.A. de mettre en place un Business Model innovant et une robuste Supply Chain. Le fleuron du Tabac marocain travail en étroite collaboration avec plus de 500 agriculteurs indépendants.

Les détracteurs de Habanos S.A. se sont rapidement dévoilés. Initiées par deux entreprises Cubaines, Habanos S.A. a fait l’objet de plusieurs poursuites judiciaires.
Le conflit entre Habanos S.A. et les entreprises Cubaines est totalement compréhensible. La croissance de Habanos S.A. et la qualité du Cigare marocain vont inexorablement aboutir à la réorganisation des parts de marché du Cigare de luxe au niveau mondial.
La stratégie judiciaire initiée par les entreprises cubaines est simple : profiter d’une faille juridique en déclenchant plusieurs poursuites judiciaires, et les abandonner juste avant les verdicts finaux, tout en changeant de représentant légal. L’éthique n’est évidemment pas au rendez-vous.
L’objectif principal de cette approche, agressive et chronophage, est de perturber le bon fonctionnement de Habanos S.A., et de s’accaparer de toute l’attention et de l’énergie de son Top Management.

Par contre, ce qui est incompréhensible, est l’acharnement d’un journal électronique marocain, ou plus précisément d’un site internet, contre Habanos S.A. Un site internet dont la notoriété laisse à désirer.
La « patronne » de ce site Internet, jadis experte dans le déploiement des directives et dans le lobbying bas de gamme, avait déjà mis fin à son business et par la suite la fermeture du site internet en question.
Les rares déclarations médiatiques, non maitrisées, de cette « patronne » et de ses journalistes salariés, reflètent leurs rôles de pantins. Le principal responsable de cet acharnement contre l’entreprise marocaine, n’est autre que le directeur de publication du site : Ali Ammar. Ce Pseudo journaliste, auparavant salarié d’une banque marocaine, avait profité de son statut de banquier pour mettre en place un système frauduleux. Des fraudes pour lesquelles il avait été inculpé par un tribunal au Maroc. Selon plusieurs enquêtes et rapports journalistiques, ce mercenaire a décroché par la suite un diplôme de journalisme bidon dès sa sortie de prison.

Le conflit avec Habanos S.A. n’est qu’une continuité de ce business frauduleux. C’est un chantage médiatique et un travail de mercenaires pour nuire non seulement à l’entreprise Habanos S.A., mais aussi en défaveur de la balance commerciale du Royaume du Maroc.
Décrédibiliser la première exposition de Cigare de luxe en Afrique (tenue à Casablanca en 2019 par Habanos S.A.) uniquement parce que les fonds d’investissements sont importants est une logique complètement fausse. En adoptant la même approche, une analyse financière de ce site Internet francophone, payant, destiné à un public marocain, et dont la notoriété de son dirigeant est nulle ; permet par un procédé bien plus logique de remettre en cause les fonds d’investissements de ce site Internet.

Il est grand temps que la presse marocaine contribue à la promotion des biens et des services marocains.

 

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